SOLIDARITE AVEC MES CONGENERES
Posté : mar. 16 févr. 2010 19:43
J'apprends avec stupeur et consternation que 3 vavaches sont menacées d'abattoir pour situation administrative non régularisée.
L'histoire :
Une brave mamie, quelque part en France, achète 3 vavaches à un agriculteur voisin il y a quelques années. Lors de l'achat l'agriculteur indique à son acheteuse qu'il lui remettra les "papiers" la semaine suivante.
Mais hélas il décède 3 jours après la vente. Le temps passe, notre acheteuse ne voit rien arriver et contacte la préfecture, qui la rassure : Vos seules obligations sont que vous les fassiez suivre par un vétérinaire et qu'elles soient bien vaccinées en temps et heure. C'est ce que fait notre brave dame depuis qu'elle a acquis les vavaches.
Mais voici que les bureaucrates reviennent maintenant à l'attaque. Pas de papiers en règle abattoir
et ils ne veulent rien entendre.
Du coup, les vavaches sont consignées dans leur étable 24 heures sur 24, leur patronne craignant qu'on ne les lui saisisse dès lors qu'elles batifoleront dans l'herbe tendre. Tout ce petit monde vit dans un stress permanent, merci les fonctionnaires zélés !
Cette histoire à la Kafka rejoint l'expérience que je viens de vivre pour faire renouveler ma carte d'identité.
Si ça vous chante, je poste l'histoire sur le blog.
L'histoire :
Une brave mamie, quelque part en France, achète 3 vavaches à un agriculteur voisin il y a quelques années. Lors de l'achat l'agriculteur indique à son acheteuse qu'il lui remettra les "papiers" la semaine suivante.
Mais hélas il décède 3 jours après la vente. Le temps passe, notre acheteuse ne voit rien arriver et contacte la préfecture, qui la rassure : Vos seules obligations sont que vous les fassiez suivre par un vétérinaire et qu'elles soient bien vaccinées en temps et heure. C'est ce que fait notre brave dame depuis qu'elle a acquis les vavaches.
Mais voici que les bureaucrates reviennent maintenant à l'attaque. Pas de papiers en règle abattoir
et ils ne veulent rien entendre.
Du coup, les vavaches sont consignées dans leur étable 24 heures sur 24, leur patronne craignant qu'on ne les lui saisisse dès lors qu'elles batifoleront dans l'herbe tendre. Tout ce petit monde vit dans un stress permanent, merci les fonctionnaires zélés !
Cette histoire à la Kafka rejoint l'expérience que je viens de vivre pour faire renouveler ma carte d'identité.
Si ça vous chante, je poste l'histoire sur le blog.